Cheval arabe, lézard dansant, mulet rêveur, criquet sauteur, araignée chiromancienne et autres bêtes intrigantes. À travers un univers exotique peuplé de jacarandas, d’orchidées et d’hibiscus, la mémoire intime s’exerce au gré des impressions, des sensations et des expériences. Les souvenirs s’exaltent pour laisser libre cours à l’imagination. Les mots du poète dévoilent un espace de songes et de mystères, de portraits intimes dans lesquels la faune demeure souveraine.

Ce bestiaire poétique d’Anthony Phelps illustré par l’artiste Sean Rudman célèbre l’homme et la nature porteuse de symboles, source de dévotion. L’art dans toute sa beauté, son incandescence. 

Note de Robert Berrouët-Oriol:

• Le dictionnaire Le Larousse consigne deux sens au mot ‘’bestiaire’’ (a) Ensemble de l'iconographie animalière, ou groupe de représentations animalières, notamment du Moyen Âge. (b) Traité, recueil d'images ayant trait aux animaux.
• Pour sa part, le dictionnaire Le Robert atteste qu’un ‘’bestiaire’’ est (a) Celui qui devait combattre contre les bêtes féroces, ou leur était livré au cours des jeux du cirque. (b) Un recueil de fables, de moralités sur les bêtes.

Sur Potomitan

• Anthony Phelps: La mémoire contre l'oubli par Saint-John Kauss.
   
• Anthony Phelps et le «jardin extravagant de la mémoire» par Hugues Saint-Fort.
   
• Hommage à Anthony Phelps par Ernest Pépin.
   
• Mon pays par  Anthony Phelps, 2010.
   
• Nomade je fus de très vieille mémoire
   
• La poésie d'Anthony Phelps par Saint-John Kauss.

Sur le web

Anthony Phelps sur le site Îìle-en-Île.

Mon Pays Que Voici, deuxième partie du poème. Extrait audio lue par l'auteur.

 Viré monté